Sommaire
- Cette classification officielle a été annoncée jeudi par une agence de l’Organisation mondiale de la santé.
- L’explication :
- [fond orange]« Les experts ont conclu qu’il existe des preuves suffisantes pour dire que l’exposition à la pollution de l’air extérieur provoque le cancer du poumon[/fond orange] »
- Le décryptage.
- Parmi les pistes de réforme qu’il propose :
Cette classification officielle a été annoncée jeudi par une agence de l’Organisation mondiale de la santé.
L’explication :
[fond orange]« Les experts ont conclu qu’il existe des preuves suffisantes pour dire que l’exposition à la pollution de l’air extérieur provoque le cancer du poumon[/fond orange] »
[fond orange fonce] Ils ont également noté une association positive avec un risque accru de cancer de la vessie",[/fond orange fonce] a précisé l’IARC dans un communiqué. Telles sont les conclusions auxquelles sont parvenus les experts, réunis pendant plusieurs jours à Lyon pour analyser des études portant sur des milliers d’hommes et de femmes suivies pendant plusieurs décennies, a précisé le docteur Dana Loomis, lors d’une conférence de presse à Genève.
Le décryptage.
Cette annonce, c’est l’occasion d’une vraie « prise de conscience et c’est déjà beaucoup » pour Alain Cicollela, président du Réseau santé environnement, joint par Europe 1. « Ça veut dire qu’il faut changer notre façon de penser la santé. Il faut se poser la question de savoir d’où viennent nos maladies chroniques », estime-t-il.
Parmi les pistes de réforme qu’il propose :
« réduire au maximum dans les villes, les transports, la voiture ».